A l’ombre d’un grand chêne, j’ai parcouru les déserts du monde avec George Steinmetz
Publié le 4 septembre 2016

Bonjour à tous,
La chaleur sévit encore ici sur le Pays basque, et ce dimanche après-midi, que je voulais pourtant studieux, s’est finalement transformé en dimanche de lecture.
Au programme du jour, le magnifique livre de George STEINMETZ, « Déserts absolus » (voir site de l’éditeur pour les informations complètes en cliquant sur le visuel).
Ce pilote/photographe, dingue de paramoteur s’est mis en tête – pour notre plus grand bonheur – de photographier du ciel tous les déserts du monde.
Le livre s’ouvre une trentaine de pages contenant l’histoire de ce projet pharaonique, et les innombrables anecdotes qui ont ponctué sa réalisation. Très prenant, dès ce moment, car si on imagine fort bien les tracasseries que certaines administrations peuvent réserver à ce type d’aventure, on est encore loin du compte.
Ensuite on entre dans le coeur du sujet. Plus de 300 pages de photos qui nous font plonger, en doubles pages, dans des décors incroyables.
Certains lieux sont connus, d’autres nettement moins, et l’ensemble donne vraiment envie.
Une belle prouesse technique donc pour le photographe, mais aussi une belle maitrise de l’image.
Pour avoir une toute petite idée de l’ampleur de ce projet, du nombre de pays visités par le photographe, je vous invite à regarder cette vidéo présente sur son site :
La balade photographique est vraiment unique. Je me suis régalée…
Du même auteur (et également dans ma bibliothèque, car tout aussi excellent) :
. « African Air »
.
. « Mirages d’Arabie »
Un auteur à suivre, donc….
Pour découvrir son site Internet, c’est par ici…
Et pour terminer, réponse à une petite question que l’on m’a posée à deux ou trois reprises : « Pourquoi ne dîtes-vous jamais de mal des livres que vous recensez dans votre blog ? Il n’y a jamais la moindre critique négative, ce n’est pas très objectif ! »
La réponse est toute simple : si je lis un livre que je n’apprécie pas plus que cela, je n’en parle tout simplement pas. Ces livres ne me sont pas offerts par les éditeurs, je les achète lorsque j’en ai l’occasion (et les moyens). Je suis donc parfaitement libre ensuite de publier ou non un compte rendu… Mais si je prends le temps de le faire, c’est tout simplement parce que l’ouvrage m’a fait voyager, ou qu’il m’a fait réfléchir, ou vibrer.. ou les trois ensemble.
Voilà, c’est tout simple.
Bonne lecture à tous.
Joëlle
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer